Le Jeûne et jeûne thérapeutique

Le Jeûne ou la régénération par le jeûne ou encore le grand ménage de la cave au grenier.

Connaissez vous le Jeûne ?

Voici un moyen hygiénique de nettoyer le corps ,de se purifier et d'entretenir sa santé. Le Jeûne est connu depuis le début des temps et recommandé par toutes les médecines, de toute les époques. Regardez les animaux et vous verrez qu'un animal souffrant ou malade va systématiquement se mettre en diète ou mieux encore, il va arrêter de s'alimenter.

Pour l'homme moderne, qui est en surconsommation de nourriture, il est fondamental de jeûner de temps à autre, sans pour autant jeûner plusieurs jours, essayer une journée par semaine. Pour l'homme commun, l'idée du jeûne est un peu effrayante, elle s'associe à des concepts de faim, de punition, d'affaiblissement, de mort ou de sacrifice.

Bien au contraire; Le jeûne périodique est la meilleure garantie contre la maladie et le vieillissement.

Notre système de surconsommation conduit l'organisme à un encrassement cellulaire et par conséquent, à une très mauvaises élimination des toxines.

LA MALADIE ARRIVE PAR UN ENCRASSEMENT DE L'ORGANISME,

Quand nous cessons de manger, de nous alimenter et que nous buvons de l'eau ,le corps se met au nettoyage, il n'y a que dans ces conditions que le corps nettoie, sachant que l'élimination se passe la nuit pendant notre sommeil. Là aussi, le repas du soir doit être léger afin que la digestion soit rapide et que le corps puisse se concentrer sur l'élimination. Si le repas du soir est trop riche et copieux, le corps n'éliminera pas correctement, voire pas du tout.

Imaginez plusieurs jours, mois ou année en encrassant l'organisme, la maladie s'installe.

La prévention à ce style de vie moderne, pour rester en bonne santé, c'est le jeûne.

Par contre, il n'est pas conseillé pour les jeûnes longs, de les faire seul. Il faut impérativement être suivi pas un naturopathe, il y a des centres spécialisés pour jeûner.

Cependant, pour un jour par semaine il n'y a pas de contre-indication.
Boire de l'eau suffisamment, voire 2 litres dans la journée.

N'hésitez pas à m'envoyer un mail, si vous avez des questions.

Le Jeûne thérapeutique

Le jeûne est l'absence totale d'absorption de nourriture sous quelque forme que ce soit, excepté l'eau.
Durant cette période le métabolisme se ralentit : la respiration, la circulation (le pouls) et toutes les activités vitales en général sont ralenties. En privant le corps de l'apport des matières premières (glucides, lipides, protides) et en arrêtant l'invasion des toxines endogènes et exogènes, les organes se mettent au repos, ce qui permet leur réparation et leur régénération.
Le jeûne accélère le nettoyage des vaisseaux, des cellules et du milieu interstitiel. Il permet également la consommation de tout excès nutritif "inutile" (grâce au processus d'autolyse), la suppression des toxines circulantes et déposées, le rajeunissement des cellules et des tissus et l'amélioration des processus de digestion et d'assimilation.
Considérant tous ces bienfaits, le jeûne est préconisé pour la guérison de maladies diagnostiquées, il est dit "thérapeutique". Or sachant que la maladie est un état de toxémie, la guérison ne pourra suivre un processus physiologique spontané que si les toxines ont été préalablement éliminées. Plus la toxémie est élevée, plus le travail de régénération est complexe, les étapes vers la guérison sont nombreuses et se déroulent différemment en fonction des individus. On préconisera donc le jeûne en respectant un repos physiologique complet, qui permettra au corps de concentrer toutes ses énergies à la détoxication en profondeur et à la régénération des organes.
A l'issu de ce jeûne, on attend la guérison. Ainsi de nombreuses pathologies, directement liées à l'accumulation intense et prolongée de toxines, comme le diabète, l'hypertension, les maladies cardiovasculaires ou les calculs, peuvent être évitées ou même guéries si on agit alors qu'elles sont encore en phase précoce. Ce jeûne, en éliminant les résidus toxiques, joue un rôle préventif pour tout dérèglement physiologique.
Des travaux scientifiques ont démontré que la pratique annuelle d'un jeûne d'une semaine permettrait de diminuer de façon stupéfiante le nombre des cancers. Il suffit en effet de quelques jours de jeûne pour purger le corps d'une quantité importante de toxines.

Les effets physiologiques du jeûne

Pendant la période de repos due au jeûne, le corps se consacre entièrement à sa propre régénération. On assiste tout d'abord à une perte de poids, associé à un certain détachement par rapport à la nourriture, et le désir de se maintenir en bonne santé malgré un environnement alimentaire moderne orienté industrie et chimie. Le jeûne permet également de lutter contre les dépendances (tabac, café, alcool).
Puis toute une série d'améliorations physiques et physiologiques sont observées :

  • une augmentation du taux de zinc dans le sang : le zinc favorise la cicatrisation des plaies et l'affinité des globules rouges pour l'oxygène, facilitant ainsi son transport. Il a une action stimulante dans la synthèse du collagène, dans le métabolisme des os, au niveau du travail cérébral et de la vision. Le zinc provoque également une hypersensibilité au goût car c'est un composant de la gustine (enzyme gustative dépendante du zinc) au niveau de la langue.
  • des tissus purifiés : la qualité de la peau s'améliore, elle devient plus saine, plus lumineuse, les rides s'estompent, meilleur tonus du tissu conjonctif, souvent la vision et l'ouïe s'améliorent, d'où prévention du vieillissement prématuré, et bonne santé mentale et physique à la cinquantaine
  • restauration et régénération des organes tels que le cœur, le foie, les reins, l'estomac ou les intestins endommagés, la flore intestinale se développe.
  • le sang se nettoie, se régénère et s'équilibre, ce qui lui permet de nourrir et nettoyer l'organisme de façon optimale : thérapie dans le cas de maladies dépistées à un stade précoce (cancers et tumeurs) et traitement des maladies liées à l'alimentation.
  • Le système immunitaire est renforcé : les réactions de défense se déroulent beaucoup plus efficacement car le terrain est assaini ; la synthèse des anticorps augmente et les cellules de défenses ont une activité autolytique plus développée, l'activité des monocytes (cellules qui détruisent les bactéries) est plus grande. Les globules blancs se déplacent plus facilement et plus rapidement vers leurs zones d'action (inflammations).
  • l'esprit s'éclaircit et les capacités créatives, de mémorisation et de réflexions sont plus intenses.
Le repos physiologique

On parle de repos physiologique lorsque l'organisme tout entier se repose. Pendant le jeûne, la plupart des organes internes se reposent, les glandes endocrines, le système respiratoire, le système nerveux et surtout le système digestif (absence d'assimilation des aliments). Seul le système éliminateur fournit un travail considérable, car il libère le corps de ses toxines accumulées en profondeur. Cette désintoxication demande beaucoup d'énergie, et si cette énergie n'est pas suffisante et disponible, les fonctions d'élimination et de réparation seront diminuées ; d'où la nécessité de ralentir l'activité de l'ensemble des autres organes.
C'est donc grâce à ce temps de repos que l'organisme peut investir toute l'énergie dans ses activités réparatrices : redonner sa vigueur à un système digestif épuisé, rééquilibrer un système glandulaire surmené, reposer un système nerveux tendu …
C'est une phase obligatoire, conférant au jeûne son efficacité et son caractère thérapeutique. C'est aussi une occasion pour faire le point avec notre psychisme, nos émotions, notre spiritualité … notre vie dans son ensemble.

3 types de malaises peuvent se révéler pendant le jeûne

Lorsque la personne décide d'entreprendre un jeûne, elle peut révéler certains malaises qui peuvent être d'ordre physique ou psychologique.
Les différents symptômes qui se manifestent durant le jeûne ne présentent pas une aggravation de l'état du malade. Ils révèlent au contraire certains changements vitaux internes en vue d'une amélioration. Nausée, défaillances, douleurs, vomissements, mal de tête et autres symptômes se produisent parfois et peuvent engendrer panique ou rupture prématurée du jeûne.

  • la peur du jeûne : même lorsque la décision est prise, il peut être angoissant de ne pas se nourrir. C'est contraire à nos habitudes, à notre culture, à notre éducation. Manger non seulement nous nourrit, mais nous rassure, nous réconforte, nous apaise. La nourriture nous lie à la matière, à notre quotidien, c'est ce qui rend convivial et favorise notre relationnel. Jeûner (la première fois) c'est l'inconnu, c'est renoncer à tout cela, c'est perdre ses repères matériels, c'est enlever cette "béquille" qui nous permet de calmer nos émotions et de nous détendre quand on est trop stressés. Entreprendre un jeûne demande une bonne préparation.
  • la mémoire du corps : certains malaises représentent le réveil d'anciens traumatismes ou maladies. La personne ressent d'anciennes douleurs qu'elle a connues dans le passé. Le jeûne permet la résurgence des émotions et des souffrances non évacuées qui se traduisent par des manifestations physiques du corps et psychologiques. Les tissus endommagés se réparent.
  • le malaise latent : le jeûneur est surpris par l'apparition de nouveaux malaises liés à certains dysfonctionnements ou foyers d'infections qui ne s'étaient encore jamais manifestés jusque là. Ces malaises, révélés par le jeûne, se seraient de toute façon, tôt ou tard, manifestés.
Qu'est-ce que l'autolyse ?

Le mot "autolyse" vient du grec et signifie "perte de soi-même". En physiologie, il désigne le processus de digestion et de désintégration des tissus par des enzymes produites dans les cellules elles-mêmes. Par exemple, dans la nature, le processus d'autolyse est utilisé par la grenouille pour digérer sa queue lors de sa métamorphose : pendant cette période, le grenouille ne mange pas, elle se nourrit des éléments contenus dans sa queue.
Dans l'organisme humain, c'est un processus d’auto-digestion et de désintégration des tissus usés conduisant à la régénérescence des cellules et des tissus. L'autolyse des déchets permet un drainage profond de toutes nos humeurs, un nettoyage de tous les tissus de l'organisme, sans exception.
C'est parce qu'il est privé de tout apport de nutriments que notre corps pratique l'autolyse. Les enzymes autolytiques sont des oxydases : des protéases pour la digestion des protéines, des lipases qui transforment les graisses et des carboxylases qui modifient les glucides complexes. Ainsi les réserves de glycogène (amidon complexe) sont transformées en sucres simples, seuls assimilables au niveau cellulaire ; les réserves musculaires riches en protéines sont transformées en acides aminés. Certaines phases de ce processus se déroulent dans les lysosomes (petites vésicules plasmatiques intra cellulaires, qui contiennent de nombreuses enzymes autolytiques). Les radicaux libres sont également neutralisés, puis éliminés.
Le corps exerce un contrôle très strict sur le processus d'autolyse : les tissus sont détruit en raison inverse de leur utilité : les graisses s'en vont en premier, puis les autres tissus et notamment les tissus malades comme les tumeurs et dépôts divers (cholestérol, athéromes, calcaire …). Ce processus n'est pas livré au hasard, les tissus vitaux du corps ne sont pas sacrifiés. Au contraire, les tissus non essentiels ou anormaux, ayant une vitalité moindre que les tissus normaux, sont plus facilement détruit par autolyse, et leurs composants transportés à travers l'organisme pour nourrir les tissus vitaux. Notre corps se répare ainsi en profondeur. L'autolyse est un rajeunissement du corps.
Ce processus auto lytique nécessite donc la réunion des conditions suivantes :

  • l'organisme doit diminuer son niveau toxémique (en situation d'alimentation réduite ou de jeûne). Les nutriments mobiles (glucose, acides aminés, acides gras) doivent se raréfier pour qu'il soit fait appel aux tissus anormaux.
  • L'organisme doit disposer d'un niveau énergétique satisfaisant pour que les divers processus enzymatiques puissent s'effectuer (limiter la dépense d'énergie pendant un jeûne).
Les différents types de jeûne
  1. Une journée
    On peut jeûner 1 jour par semaine, 3 jours chaque saison ou bien 2 jours de temps en temps, quand on en ressent le besoin. Effectués dans le calme et le repos, ces jeûnes sont tout à fait bénéfiques pour garder une bonne forme. Ils permettent un excellent repos du système digestif.
    Ce sont des jeûnes préventifs, mais pas assez longs pour que l'autolyse agisse en profondeur. Pour prévenir efficacement l'accroissement de la toxémie, on s'orientera vers des jeûnes plus long .
    (7 jours chaque année par exemple).
  2. Jeûne primaire ou jeûne du mieux être.
    Il dure environ 7 jours. L'élimination des toxines est intense et elle se traduit par une perte de poids importante. Son rôle est de désencombrer l'organisme du surcroît des toxines. C'est un nettoyage élémentaire qui permet d'accroitre la qualité de la santé par désintoxication de l'organisme.
    Dès l'entrée en jeûne, l'organisme autolyse en priorité les organes les plus intoxiqués, surtout s'il s'agit des organes vitaux tels que le cœur, le foie, les reins, les poumons ou le système nerveux. Puis l'autolyse s'oriente vers les différentes infections bactériennes ou virales (grippes, otites, laryngites, infections de la vessie).
    Conseillé périodiquement pour tout le monde, il nous permet de mieux percevoir notre corps, de le sentir léger, désencombré, souple, prêt à répondre aux sollicitations diverses.
  3. Jeûne secondaire ou jeûne de la rénovation organique.
    Il dure entre 7 et 21 jours, en général 14 jours.
    Des modifications profondes vont se produire dans l'organisme. L'autolyse s'oriente vers les tissus secondaires comme les muscles, la peau et l'ossature. De nombreux organes voient disparaitre peu à peu les cellules atrophiées qui entravent leur bon fonctionnement, ils sont ainsi rénovés et régénérés. Les organes excréteurs : foie, reins, poumons sont particulièrement revigorés.
    Pour que l'autolyse des cellules usagées puisse se faire en profondeur et dans sa totalité, il faut que l'organisme ait épuisé la masse de ses réserves mobiles disponibles tant au niveau du foie que des muscles. Il est nécessaire qu'une semaine se passe pour que l'autolyse réelle des cellules malsaines des organes commence à se réaliser légèrement. Cette activité d'autolyse va en s'accroissant au fur et à mesure que la période du jeûne se prolonge.
    Le niveau d'énergie du corps est plus stable, on se sent mieux, la langue devient moins chargée. Ce jeûne s'adresse aux personnes qui, vers la quarantaine, désirent maintenir leur jeunesse en se faisant un "nouveau corps".
  4. Jeûne tertiaire ou jeûne de réajustement fonctionnel.
    Dure 21 jours ou plus.
    Il est préconisé aux personnes dont la toxémie a endommagé tous les organes du corps. Au-delà de 21 jours, on entre dans la période du jeûne la plus bénéfique pour corriger tous les déséquilibres internes dû à la toxémie.
    Les organes rénovés au cours de la phase précédente, vont tenter de se remettre en activité normale. Ils vont tenter de rétablir entre eux une coordination d'activité qui était devenue très déficiente. Il n'y a pas de cloisonnement entre les activités des diverses fonctions des organes (fonctions digestive, respiratoire, cardiaque). La marche de chacun d'eux est tributaire de celle des autres et inversement. Lorsque les organes d'une même fonction rétablissent une meilleure coordination entre leurs activités, il se produit une rénovation de l'activité de l'ensemble de la fonction.
Vigilances : Facteurs à considérer avant l'entrée en jeûne - Contre-indications

Avant d'entreprendre un jeûne, il est important de s'assurer que la personne est capable de supporter ce jeûne, tant au niveau physique (ou physiologique) que psychologique.
Un bilan de santé et de vie sera alors effectué pour connaître parfaitement l'état de l'organisme de la personne :

  • ses différents problèmes de santé, ses antécédents et ses éventuels traitements médicaux.
  • sa qualité de vie : habitudes alimentaires, sommeil, dépendances (tabac, alcool), stress.
  • ses motivations : la personne est-elle prête à consacrer le temps nécessaire à une guérison profonde et à remettre en question ses anciennes habitudes.
  • sa préparation : la personne est-elle suffisamment informée sur le déroulement du jeûne (de la préparation avant l'entrée en jeûne à la reprise alimentaire), ses désagréments quant aux malaises générés par le jeûne … et accepte-t-elle sans trop de peur ou de panique de vivre cette expérience ? Pour proposer le jeûne aux patients, il faut être sûr que l'organisme pourra le supporter, il doit être autonome et doit pouvoir accomplir ses fonctions vitales par lui-même. Il sera donc contre indiqué dans les cas suivants : -les patients qui présentent une trop faible vitalité (maigres, fatigués, anémiés) ou des carences nutritionnelles graves
  • les personnes sous dépendance médicamenteuse profonde (les diabétiques sous insuline, les épileptiques) ou même sous dépendance toxique (alcool, drogue)
  • ceux qui ont un corps étranger dans l'organisme : organe greffé ou stimulateur cardiaque
  • ceux qui ont déjà une maladie trop avancée et donc irréversible : cancer généralisé, Alzheimer, sclérose en plaque, colites ulcéreuses.
  • ceux qui présentent une maladie mentale avec manque de contrôle de soi
  • également ceux qui ont une peur panique d'entrer en jeûne.
Comment se préparer au jeûne ?

L'entrée en jeûne doit se préparer avec beaucoup de soin et d'attention, tant au niveau psychologique (être serein et accepter le jeûne en toute connaissance de cause) que physique (alimentaire).
La technique de la "descente alimentaire" permet à l'organisme de commencer à s'alléger et à se détoxiquer, afin d'éviter de créer des chocs désagréables dans les fonctions physiologiques.
Il n'est pas souhaitable de sauter des repas, mais par contre effectuer une réduction progressive par palier, diminuant chaque jour la quantité de nourriture et modifiant le contenu des repas.
Chaque palier correspond à la suppression d'une catégorie d'aliments, en commençant par ceux qui exigent un travail digestif important. Lorsqu'on respecte ces paliers, il est facile de maîtriser la période de jeûne sans souffrir de symptômes d'élimination trop intenses.
Il est par ailleurs nécessaire de renflouer ses réserves en minéraux et vitamines afin de ne pas faire de carence en cours de jeûne. On préconise donc de consommer abondamment des fruits et légumes frais dans les semaines précédant le jeûne.
Voici comment peut s'échelonner la descente alimentaire, en commençant 8 jours avant le jeûne.
J-8 et bien avant dans certains cas : supprimer tous les excitants (café, thé, cacao, alcool, sucre, sel) les produits chimiques et raffinés, les huiles et graisses cuites.
J-7 : supprimer tous les féculents (pain, pâtes, riz, légumineuses), et augmenter la consommation de légumes verts et à racine.
J-6 et J-5 : supprimer toutes les protéines animales (viandes, poissons, produits laitiers, œufs) que l'on remplacera par des noix.
J-4 et J-3 : retirer les légumes à racines et continuer avec fruits, légumes verts et noix.
J-2 et J-1 : ne consommer que des fruits.

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